Le Canon bouddhique en Chine: Les Traducteurs et les Traductions, Vol. 1
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*{{i|II. Les Traducteurs et Les Traductions des Tsin Orientaux (317–420 A. D.)|319}} | *{{i|II. Les Traducteurs et Les Traductions des Tsin Orientaux (317–420 A. D.)|319}} | ||
**L'Eglise de Kien-ye (Nanking): | **L'Eglise de Kien-ye (Nanking): | ||
** 1. Po Çrimitra. — 2. Tche Tao-yen. — 3. K'ang Fa- | ** 1. Po Çrimitra. — 2. Tche Tao-yen. — 3. K'ang Fa-soue. — 4. ''Tchou T'an-wou-Ian'' (Dharmaratna). — 5. K'ang Tao-ho. — 6. Kâlodaka. — 7. Gautama Saṅghadeva. — 8. Vimalâkṣa. — 9. Dharmapriya. — 10. Buddhabhadra. — 11. Fa-hien. — 12. Gîtamitra. — 13. Nandi. — 14. Tchou Fa-Ii. — 15. Che Song-kong. — 16. Che T'ouei-kong. — 17. Che Fa-yong. — 18. Ouvrages anonymes. | ||
— 4. ''Tchou T'an-wou-Ian'' (Dharmaratna). — 5. K'ang Tao-ho. — 6. Kâlodaka. — 7. Gautama Saṅghadeva. — 8. Vimalâkṣa. — 9. Dharmapriya. — 10. Buddhabhadra. — 11. Fa-hien. — 12. Gîtamitra. — 13. Nandi. — 14. Tchou Fa-Ii. — 15. Che Song-kong. — 16. Che T'ouei-kong. — 17. Che Fa-yong. — 18. Ouvrages anonymes. | |||
<center>CHAPITRE V</center> | <center>CHAPITRE V</center> | ||
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*{{i|I. Les Traducteurs et Les Traductions des Song (428–479 A. D.)|363}} | *{{i|I. Les Traducteurs et Les Traductions des Song (428–479 A. D.)|363}} | ||
**L'Église de Kien-ye (Nanking): | **L'Église de Kien-ye (Nanking): | ||
** 1. Buddhajîva. — 2. Che Tche-yen. — 3. Pao-yun. — 4. Îçvara. — 5. Guṇavarman. — 6. Saṅghavarman. — 7. Guṇabhadra. — 8. Dharmamitra. — 9. KâIayaças. — 10. Che Fa-yong. — 11. ''Tsiu-kiu'' King Cheng. — 12. ''Kong-tö-tche'' (Guṇasatya ?). — 13. Che Houei-kien. — 14. Che Seng-tchou. — 15. Che Fa-ying. — 16. Tchou Fa-kiuan. — 17. Che | ** 1. Buddhajîva. — 2. Che Tche-yen. — 3. Pao-yun. — 4. Îçvara. — 5. Guṇavarman. — 6. Saṅghavarman. — 7. Guṇabhadra. — 8. Dharmamitra. — 9. KâIayaças. — 10. Che Fa-yong. — 11. ''Tsiu-kiu'' King Cheng. — 12. ''Kong-tö-tche'' (Guṇasatya ?). — 13. Che Houei-kien. — 14. Che Seng-tchou. — 15. Che Fa-ying. — 16. Tchou Fa-kiuan. — 17. Che Siang-kong. — 18. Che Tao-yen. — 19. Che Yong-kong. — 20. Che Fa-hai. — 21. Che Sien-kong. | ||
Siang-kong. — 18. Che Tao-yen. — 19. Che Yong-kong. — 20. Che Fa-hai. — 21. Che Sien-kong. | |||
*{{i|II. Les Traducteurs et Les Traductions des Ts'i (479–502 A. D.)|407}} | *{{i|II. Les Traducteurs et Les Traductions des Ts'i (479–502 A. D.)|407}} | ||
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**L'ÉgIise de Kien-ye: | **L'ÉgIise de Kien-ye: | ||
** 1. Seng-yeou. — 2. Mandrasena. — 3. Saṅghabhara. — 4. Paramârtha. — 5. Upaçûnya. — 6. Subhûti. | ** 1. Seng-yeou. — 2. Mandrasena. — 3. Saṅghabhara. — 4. Paramârtha. — 5. Upaçûnya. — 6. Subhûti. | ||
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Latest revision as of 18:22, 23 June 2023
Le « Catalogue of the Chinese translations of the Buddhist Tripiṭaka » de Bunyiu Nanjio, devenu classique, jut publié en 1883. Son travail basé sur la collection impériale des Ming, dont un exemplaire se trouvait alors à Londres, n'énumérait que les ouvrages contenus dans cette collection. Une nouvelle édition du « Tripiṭaka » publiée à Tôkyo (1882-1885) et le supptément de l'édition de Kyôtô nous ont révélé des textes qui avaient échappé aux éditeurs des Ming.
Depuis la publication de Nanjio, l'étude critique du « Tripiṭaka » chinois se poursuit sans cesse et grâce à Sylvain Lévi, Édouard Chavannes, Paul Pelliot, Henri Maspero et d'autres savants nous possédons aujourd'hui une base solide pour l'étude du « Tripiṭaka » chinois, indispensable pour la connaissance de la littérature bouddhique dans tout son ensemble.
Dans le présent travail, je mé propose de dresser un inventaire complet du « Tripitaka » chinois suivant les époques. Bien des traductions antérieures à l'époque des Souei et des T'ang sont perdues. C'est pourquoi j'ai pensé qu'il ne serait pas inutile de rendre compte, non seulement des textes que nous possédons actuellement, mais aussi de ceux qui ne sont pas parvenus jusqu'à nous, car ce n'est qu'ainsi qu'on peut arriver à comprendre l'activité des missionnaires bouddhiques en Chine. Les diverses missions en Asie centrale, ont déjà rapporté des textes que les éditions officielles de Chine et de Corée n'avaient pas conservés Couvreur, mais les index remédieront peut-être aux difficultés qui pourraient éventuellement s'en suivre.
Je ne veux pas laisser paraitre ce travait sans exprimer ma reconnaissance, à mes mattres et à mes amis qui m'ont prêté leur précieuse assistance. Mes relations avec M. et Mme Sylvain Lévi me sont aussi chères que ma vie. Les jours inoubliables que j'ai passés avec eux dans l'université de Santiniketan, dans la vallée du Nepal, en Extrême-Orient et ensuite en France ont été la plus grande joie de ma vie, une inépuisable source de consolation dans des moments douloureux et m'ont encouragé à pousser ce travail jusqu'au bout. Je ne saurais jamais exprimer suffisamment la reconnaissance que je leur dois. Mme Sylvain Lévi m'a aidé inlassablement pour la rédaction définitive de ce travail.
Je tiens également à remercier M. Paul Pelliot dont les avis m'ont été infiment précieux et M. Henri Maspero qui a bien voulu parcourir les épreuves de ce travail et me donner ses utiles conseils.
Je remercie cordialement mes amis Mme Nadine Stchoupak et M. Jules Bloch, dont l'encouragement sympathique m'a été très précieux.
Je ne saurais jamais remercier suffisamment Rabindranath Tagore qui a toujours pris un intérêt personnel de me mettre pour travail et dont la bienveillance m'a permis de me mettre pour la première fois en contact avec mon maître.
J'ai contracté une grande dette de reconnaissance envers S. A. Mahárájá Chandra Shamsher Jung, premier ministre et maréchal du Royaume Gourkha. Depuis mon séjour au Népal avec M. Sylvain Lévi il n'a pas cessé de témoigner l'intérêt le plus bienveillant et le plus généreux pour mon travail.
Sir Atul C. Chatterjee, High Commissioner for India à Londres a bien voulu m'accorder, une subvention qui m'a permis d'achever la publication du présent ouvrage. Je le prie de trouver ici la faible expression de ma profonde reconnaissance.
L'Université de Calcutta m'a généreusement donné les moyens de continuer mes études en Extrême-Orient et en Europe et m'a fait l'honneur d'accepter mes ouvrages au nombre de ses publications.
Avant de terminer je dois exprimer les sentiments de ma reconnaissance à mon camarade d'études M. R. Yamada de l'Université Impériale de Tokyô et M. Song Kouo-tch'ou qui m'ont beaucoup aidé pour ce travail. (Bagchi, foreword, i–iv)
Citation | Bagchi, Prabodh Candra. Le canon bouddhique en Chine: Les traducteurs et les traductions. Vol. 1. Sino-Indica 1. Paris: Librairie Orientaliste Paul Geuthner, 1927. https://archive.org/details/in.ernet.dli.2015.358253/page/n9/mode/2up. |
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